Occuper pour mieux régner
À Toulouse, les guinguettes poussent comme des champignons. Et comme les champignons, elles aiment les ruines et la décomposition. Comme eux, elles accélèrent la digestion de ce qui était là et rendent le sol fertile. Pourtant, la comparaison s’arrête là car, sous les apparences, ce n’est pas la vie qui y pousse mais la rente foncière et les profits. Petit tour d’horizon de la guinguettisation du monde, dans une ville qui se veut toujours plus attirante, inclusive, aimable et verte, mais qui est surtout toujours plus soumise à la logique de la marchandise.
Boui-boui, gargote ou cambuse, le terme de guinguette charrie un imaginaire populaire et festif, magnifiquement incarné par le Bleu-bleu, cette buvette clandestine de bric et de broc construite et tenue par Gilbert Vivien sur les bords de Garonne. Le bonhomme « avait résisté plusieurs fois aux encravatés municipaux, reconstruit inlassablement son boui-boui de tôle et de béton malgré les destructions administratives et n’avait jamais cessé d’y vendre sa bière tiède. Tiède, son corps l’était encore lorsque la mairie a dépêché engins de chantier et policiers pour effacer cet affront à l’ordre que représentaient ces tables et ces bancs construits en parpaings dans le lit du fleuve. Vite, vite, surtout ne pas laisser de trace ! ».i
Ironie sordide, la métropole qui voulut à tout prix faire disparaître cette mauvaise engeance est aujourd’hui devenue friande de ces installations. Depuis quelques années, ces dernières se multiplient sur l’agglomération et comme l’affirme Ivo Danaf, patron de l’Union des métiers des industries de l’hôtellerie et propriétaire de discothèques à Toulouse : « Tous les professionnels veulent leur guinguette. »ii Le patron gère d’ailleurs celle de l’Écluse, située à la pointe de l’île du Ramier, réaménagée dans le cadre du chantier du Grand Parc Garonne. Le maire Jean-Luc Moudenc se félicitait alors : « Avec ce projet, c’est une nouvelle guinguette que nous offrons aux Toulousains, un lieu qui deviendra, comme celle du Quai de Tounis, emblématique de cette « convivencia » si typique de Toulouse.»iii Mais derrière la convivialité et la rentabilité économique de ce modèle, qui se résume finalement à l’installation d’un bar provisoire à peu de frais, se cache une véritable méthode d’occupation du terrain. On se souvient comment Jean-Pierre Rives, ancien joueur du Stade toulousain, avait construit en toute illégalité sa guinguette « la Centrale » en plein cœur de l’île du Ramier en prévision de l’Euro 2016iv. Le collectif Sodomytho31 résumait la situation sans détour : « La municipalité et un ex rugbyman médiatique s’associent pour faire du fric, virer les homosexuels, transformer un espace de nature et de rencontres en lieu marchand réservé aux riches. Et tout ça au mépris de leurs propres lois… »v. Un modèle qui a depuis fait des émules et qui tend à se systématiser.
Faire place au quartier d’affaires
En 2023, au croisement de la rue du Maroc et de la rue des Jumeaux, dans le quartier de Bonnefoy, la métropole lance un appel à financement pour un projet « fondé sur une logique d’hybridation avec la préfiguration du projet urbain, de complémentarité et de transversalité des usages, à visée d’innovation sociale, culturelle voire économique, et [qui] s’inclut totalement dans la notion de Ville durable, favorisant des modes de vie plus résilients et solidaires »vi. Le projet retenu s’appelle « Place communetm », un « lieu de vie mixte et engagé »vii censé animer une dynamique de quartier, à la fois collective et écologique. Sur place, des activités destinées à des publics précarisés et des permanences d’associations assurent la promotion de cet « îlot solidaire »viii et affirment sa dimension culturelle et sociale. Un bar du quartier, qui se veut populaire et de gauche, a également été sélectionné pour assurer la gestion commerciale de la guinguette.
La parcelle sur laquelle elle s’implante est issue de la destruction des habitations du quartier Bonnefoy qui doit accueillir le futur aménagement Grand Matabiau – Quai d’oc, anciennement Toulouse euro sud-ouest (Teso), dont les travaux seront en partie menés par Vinci et Bouyguesix : un futur quartier d’affaire de 300 000 m2 de bureaux, 7 000 m2 de commerces et environ 2000 logements. Pour les grands acteurs de ce projet, Toulouse Métropole et Europoliax, la création de Place communetm permet de donner une dimension positive à la démolition et à la bétonisation. Certes, il reste encore quelques décombres et des immeubles abandonnés, mais sur le terrain proprement terrassé, la guinguette fait office de vitrine colorée avec ses lumières et ses jolis cartels informatifs. Au milieu des Algeco et des engins de chantiers, les constructions en palettes et les plantations font office de greenwashing et marquent la rupture avec les anciens bâtiments délabrés et murés, tout comme les fresques de street art venues passer la dernière couche de vernis alternatif sur cette façade de vivre ensemble.
La mission de Place communetm est de « préfigurer un espace de solidarité, de convivialité et de mixité sur l’avenue de Lyon »xi. À terme, elle laissera la place à la construction d’un pôle d’innovation sociale comprenant des logements sociaux mais aussi une cantine solidaire, une halte de nuit, un Service intégré de l’accueil et de l’orientation, et d’autres activités adressées aux « personnes en situation d’exclusion économique, sociale ou culturelle »xii. Sous couvert d’activités gratuites et participatives, chacun·e est alors invité·e à accompagner la mise en valeur du nouveau quartier d’affaires. Cette vitrine sociale et inclusive permet de faire oublier la violence qui s’est exercée là pendant plus de dix ansxiii. Elle permet aussi de faire oublier les travaux à venir pour la construction du futur quartier d’affaires. Les expropriations, les expulsions, les démolitions ont fait table rase de Bonnefoy. Place communetm se charge désormais de faire « place nette »xiv et d’initier la mutation de l’espace. C’est d’autant plus pernicieux qu’en parallèle, la mairie multiplie la fermeture des espaces destinés aux plus précairesxv. Le processus participatif vient masquer une réduction de moyens.
Du souvenir à l’oubli
En juin 2023, quelques dizaines de personnes ont décidé de s’inviter à l’inauguration de la guinguette, avec la ferme intention de gâcher la fête. Craignant d’assister à une nouvelle étape de « l’interville du zbeul », qui jouait les prolongations du mouvement des retraites en poursuivant les ministres à l’aide de casseroles dans tout le pays, tout le gratin de la métropole avait finalement déclaré forfait et décidé d’annuler leur venue. Pourtant, les trouble-fêtes ne sont pas arrivés en terrain conquis. Le principal animateur du lieu, un cafetier du quartier, et quelques artistes avaient décidé de faire alliance pour organiser eux-mêmes une inauguration festive de ce lieu subitement devenu une « résistance de l’intérieur ».
Devant tant de confusion, tentons d’analyser plus systématiquement cette Place communetm, en dehors des bonnes ou mauvaises intentions de ses promoteurs, pour en comprendre les logiques et les enjeux. Pour la métropole, l’installation de guinguettes est une solution d’aménagement plutôt avantageuse. Tout à la fois espace de consommation, lieu de spectacle, exposition de street art et jardin partagé, c’est une forme modulable et facilement adaptable aux terrains et aux situations. La guinguette permet d’élargir l’emprise sur le territoire urbain en occupant de nouveaux espaces, autrefois considérés comme abandonnés et/ou sans intérêt. Il ne s’agit plus seulement de contrôler l’accès à une zone (par exemple un terrain vague ou un parc), mais d’investir cette dernière et de monopoliser son usage. C’est un mécanisme actif d’effacement de toutes les multiples appropriations qui pouvaient y avoir lieu et place.
Toute une classe d’encadrement (artistes, travailleurs et travailleuses sociales, etc.) est appelée à la rescousse d’un projet de quartier d’affaires, pur projet spéculatif fait sur le dos des plus pauvres. Le mécanisme est des plus efficaces. L’argent des appels à projets culturels et sociaux permet de mobiliser le travail socio-culturel qui va participer à la valorisation de la parcelle, donc à générer plus de profit. Un investissement d’autant plus rentable qu’il est peu coûteux pour la collectivité : l’appel à projet pour Place communetm, c’est à peine 20 000 euros attribués par Europolia et la métropole. À cela s’ajoutent d’autres financements du secteur culturel dont les résultats seront certainement divers, mais dont le but principal du point de vue municipal est de conquérir les cœurs et les esprits. Une mention spéciale pour Comme1possible, agence de « design urbain et concertation » qui a fomenté « constellation Matabiau » présentée en décembre à la Place communetm. Ce « projet expérimental de signalétique participative à l’échelle du projet Grand Matabiau quais d’Oc »xvi propose par exemple la balade « du souvenir à l’oubli : se souvenir de ce qui a existé et accompagner les futures transformations ». On ne saurait faire plus explicite.
Ce n’est pas uniquement un projet de communication, mais bien l’installation des dispositifs de désarmements de la critique et de la contestation au centre des processus d’aménagement. Comme les réunions d’information, les ateliers de concertation et tout l’arsenal participatif, on y voit le lieu d’une alliance entre différentes catégories de la population pour l’accumulation du profit au détriment des classes populaires qui n’auront pas les moyens de se loger là. Pour certain·es c’est l’expulsion et la dispersion, pour d’autres les financements et l’occasion de faire un peu de charité : le champ de ruines d’un quartier populaire devient un champ des possibles et d’expérimentations, pour parodier leur triste prose.
Un capitalisme social et solidaire ?
L’espace-temps entre la destruction et la construction ne doit pas échapper à la logique économique. Désormais, on parle de « friches » ou d’espaces en « jachère » pour souligner leur inclusion dans le processus de valorisation. Exit, les ruines et les terrains vagues, ces en-dehors où tout (ou presque) est possible. Cette mise en « culture » des espaces pour les faire entrer dans le processus de valorisation relève d’un ensemble d’acteurs et de transformations législatives qui prend le doux nom d’« urbanisme transitoire » (voir l’entretien avec Lou Casals).
Au cœur de cet écosystème de la digestion à Toulouse, on trouve par exemple Palanca, une société « d’Assistance à maîtrise d’usage et de conseil en innovation sociale »xvii. Concrètement, elle accompagne l’aménagement de l’espace urbain en mettant en place des activités et des services dans des tiers-lieux. Cette « start-up coopérative » est l’une des initiatrices de Place communetm et elle accompagne d’autres projets similaires (« allô Bernard », « le petit touch », « halles de la cartoucherie »). Également investie dans la création de la guinguette, l’agence d’urbanisme Intercalaire se donne, quant à elle, pour mission de « contribuer au développement de projets solidaires, associatifs, culturels, entrepreneuriaux et écologiques en reliant des espaces sans projets aux projets sans espaces »xviii. À cinq cents mètres de là, sur un ancien pôle logistique municipal, elle a participé à la création des Herbes folles, un « tiers-lieu heureux », « totem de l’économie sociale et solidaire »xix. Elle a également dirigé la création de la Maison Malepère, une guinguette qui occupe une habitation expropriée à Montaudran et qui a pour but de stimuler la vie dans ce nouveau quartier sorti de nulle part.
Les deux agences, de leur propre initiative ou sur appels de la métropole, participent à saturer les espaces urbains d’activité et d’en monopoliser les usages. À elles seules, elles sont impliquées dans plus d’une dizaine de guinguettes ou autres tiers lieux à Toulouse et ses alentours. Ces projets n’entrent pas nécessairement en concurrence et montrent plutôt l’amplitude de l’offre. Il y en a pour tous les goûts et surtout pour toutes les bourses car, qu’il s’agisse de guinguettes, de food-trucks, de food-court ou d’espace de coworking, l’offre culturelle et sociale est toujours subordonnée à une offre marchande. Si l’aspect alternatif, social et solidaire de ces guinguettes est mis en avant, Palanca ne perd pas de vue l’objectif principal : « dans un contexte en transition, nous augmentons l’efficacité économique et le sens des activités que nos clients développent en recherchant l’agilité et la collaboration »xx. Elle est d’ailleurs cofondatrice d’une société immobilière, Bellevilles, qui achète des bâtiments et des terrains vagues dans le but de les « revaloriser ».
Comme pour Place communetm, ces formes d’urbanisme transitoire sont toujours en lien avec des projets d’aménagements plus vastes (Grand parc Garonne, Toulouse Montaudran Aerospace, etc.) qu’elles intègrent en amont, pendant, mais aussi après les travaux. En plus de soigner l’image des promoteurs et de la métropole, et d’assurer le contrôle des espaces urbains, les guinguettes permettent donc de rentabiliser ces lieux « désertés », de stimuler leur potentiel financier. Dans ces projets de tiers-lieux, convivialité rime avec marchandise.
Au secours de la propriété privée
Le terme d’urbanisme transitoire désigne des occupations contractuelles et temporaires de bâtiments ou d’espaces urbains. Il s’agirait de « réactiver la vie locale de façon provisoire » comme le dit l’institut d’urbanisme et d’aménagement d’Île-de-France. Pour ce faire, il mobilise un imaginaire de la convivialité et de l’impertinence portée par des acteurs de l’animation urbaine, et surtout il s’insère dans un arsenal législatif où répression et autorisation sont savamment dosées. Entretien avec Lou Casals, auteur de « L’urbanisme transitoire, occuper pour mieux régner », publié dans Tenir la ville (Les Étaques, 2023).
Selon toi, l’urbanisme transitoire serait une forme de gestion de la vacance en vue de sécuriser le mode de production capitaliste de l’urbain. Est-ce que tu peux expliquer cela ?
La désindustrialisation et le temps long des projets urbains favorise la vacance immobilière, alors que la marchandisation de l’espace génère des conflits d’appropriation. Le squat en est la forme la plus visible. En réponse à cette pression sur la propriété privée, on constate un processus de création de garantie pour les propriétaires. Par exemple, la convention d’occupation précaire permet de « légaliser » une occupation sans avoir recours à un bail, et de louer en deçà des prix du marché. Elle n’est pas assortie des droits habituellement accordés aux locataires. D’autres dérogations au droit ont été introduites : permis de construire précaires, baux commerciaux précaires, autorisations d’occupations temporaires, etc. Le décret du 28 décembre 2015 « modernisant le plan local d’urbanisme » a également introduit une série de facilités pour l’urbanisme transitoire.
Ça permet plus de possibilités d’usages, en dehors du marché ?
Si on veut voir le positif on peut parler d’avancées laissant plus de liberté dans les projets d’aménagement, une manière de maintenir une forme de « droit d’usage », et de donner de la marge sur le terrain pour des initiatives locales. Cela permettrait d’ouvrir des possibles sans condition de ressources, tout en offrant une certaine stabilité aux projets. Parfois, le conventionnement fait suite à une lutte et permet aux occupants et occupantes de poursuivre leurs activités. D’un point de vue négatif, il faut saisir que ces « dérogations » au droit ne sont que les exceptions qui viennent confirmer la règle. Si elles traduisent un véritable intérêt pour ces formes d’occupations et un effort certain du législateur pour encadrer ces pratiques, ces « souplesses » avec la règle obligent à un certain degré de formalisation – une personne physique ou morale doit pouvoir signer le contrat – et favorisent les positions dominantes, comme tous les accords de gré à gré. Sous ce rapport, l’urbanisme transitoire offre moins de libertés qu’il ne conduit à les encadrer, à les border – il interdit notamment que ces espaces libres puissent redevenir, même de manière éphémère, une propriété collective.
Surtout, dans le même temps, les conditions d’intervention de la force publique en cas d’occupation ont été considérablement facilitées. La loi DALO, votée en 2007, rend possible l’expulsion de squat sans jugement dans un délai de 24 heures. La loi ELAN, votée en 2018, durcit la possibilité d’appliquer la qualification de violation de domicile (introduite en 2015) et donc des peines plus importantes aux occupations, disposition renforcée par la loi ASAP en 2020. Finalement, la loi Kasbarian- Bergé adoptée en juin 2023 par le Parlement, criminalise le squat et facilite les expulsions y compris pour les locataires en difficultés de paiement. Cette offensive parlementaire s’ajoute aux campagnes de presse diffamatoires à l’encontre des squats et au développement d’un usage de la violence extralégale contre les occupations illégales.
Est-ce que justement, face à cette répression, il ne faut pas investir les opportunités qu’offre l’urbanisme transitoire ?
Rien n’empêche que se fomentent effectivement des choses réellement intéressantes dans l’un ou l’autre de ces lieux, bien au contraire. Il ne faut pas confondre les conventionnements localisés – qui constituent parfois la seule possibilité d’éviter l’expulsion – et les efforts des pouvoirs publics et des promoteurs pour institutionnaliser un mode particulier de gestion de la ville. Pourtant il faut bien comprendre le lien entre les deux. La répression toujours plus importante des squats et des locataires en défaut de paiement est le pendant de l’autorisation à occuper certains lieux dans certaines conditions. On a en quelque sorte un processus de contrôle de l’espace en deux parties.
Elsa Vivant, sociologue et urbaniste, démontre que des procédures de contractualisation, d’abord mises en place de manière informelle, se sont progressivement institutionnalisées et que certains acteurs se sont professionnalisés dans l’occupation et la gestion de lieux vacants. Elle explique que les tiers-lieux permettent de faciliter la gestion (gardiennage et entretien) des lieux vacants, et qu’autoriser des pratiques artistiques en particulier éloigne d’autres pratiques comme la vente de drogue et « concourt au changement d’image des quartiers ». Les promoteurs de l’urbanisme transitoire ont aujourd’hui beau jeu de faire comme s’il s’agissait de l’aboutissement naturel des pratiques d’appropriations de l’espace, alors qu’ils leur retirent toute portée subversive en les digérant : l’urbanisme transitoire est, en quelque sorte, le squat « fait pour plaire ».
Éclairer ce processus doit permettre de lui échapper, ou tout au moins de se méfier de ceux et celles qui tentent d’en faire un « secteur d’activité » où l’engagement ne serait qu’un adjuvant à la création de valeur. Car au-delà de la valorisation d’un lieu, la cible finale de l’urbanisme transitoire, c’est la paix sociale. Ces espaces doivent pouvoir accréditer l’idéal de la cité démocratique et ouverte, joyeuse et animée, sans que, pourtant, aucune structure de la ségrégation sociale ne soit ébranlée. Les activités dans ces « lieux de vie réactivée » cumulent souvent précarité salariale et surexploitation associative, dans la joyeuse ignorance des luttes du travail et de l’urbain. Toute conflictualité sociale se trouve ainsi évacuée, aussi bien qu’est tenue, à bonne distance, l’idée que cette conflictualité pourrait être nécessaire et encore moins désirable.
iEffacements, Les oubliés d’Urbain Vitry, 2022, p.129.
iiVoir « Toulouse. Ivo Danaf, président régional de l’Umih 31 », la Dépêche du 30 mai 2015.
iii Voir « Toulouse : L’Écluse, la nouvelle guinguette située sur l’île du Ramier, ouvre mardi », actu.fr, 9 juillet 2018.
ivVoir « Jean-Pierre Rives au bord de l’eau », le Canard enchaîné du mercredi 25 mai 2016.
vLe bâtiment abandonné de la centrale était un haut lieu du cruising à Toulouse. Voir « On n’arrête pas un peuple qui s’encule », iaata.info, juin 2016.
viAppel à projet « Action de préfiguration du Pôle d’Innovation Sociale », Conseil Municipal N° 03 du 01 juillet 2022 Délibération n° 32.5.
viiVoir « Projet Matabiau : La Place commune est un lieu de vie ouvert à tous », la Dépêche du 14 août 2023.
viiiIdem.
ix Voir l’article « Le groupement Bouygues Immobilier – VINCI Immobilier réalisera le programme immobilier de l’avenue de Lyon », publié le 9 mars 2023 sur le site toulouse-grandmatabiau.fr
xSociété Publique d’Aménagement est une Société d’Économie Mixte de la métropole : elle a en charge, en particulier, le nouveau parc des expositions et TESO / Grand Matabiau – Quai d’Oc.
xiVoir le graphique « Notre vision » à la page 7 du document de « présentation du projet » accessible sur le site de Place Commune.
xii Voir l’article « Bonnefoy – Avenue de Lyon. Un quartier unifié et renouvelé fidèle à ses origines » sur le site toulouse-grandmatabiau.fr
xiiiVoir « Archives de la destruction de l’avenue de Lyon » sur toulouse.espacesensible.net
xivVoir « Toulouse : à Grand Matabiau, on fait place nette », la Dépêche du 8 décembre 2022.
xvÀ la Grave des immeubles de standing ont remplacé la halte santé, sur l’île du ramier le restaurant social et d’autres structures sont promis à une fermeture prochaine (déplacé là justement) et sur place c’est la boutique solidarité et les lieux de distribution de repas qui ont disparu.
xviVoir l’article « Constellation(s) Matabiau » publié le 25 mai 2023 sur le site toulouse-grandmatabiau.fr
xviiVoir « présentation du projet » accessible sur le site de Place Commune.
xviiiVoir le site internet de l’agence Intercalaire, « Qui sommes-nous ? ».
xixC’est ce que l’on peut lire sur la façade du lieu.
xxVoir la présentation de Palanca sur le site star-scop.fr.